« Lorsque ton bateau ancré depuis longtemps au port
Te donnera l’illusion
D’être une maison,
Lorsque ton bateau
Commencera à pousser des racines
Dans l’immobilité du quai
Prends le large !
Il faut sauver à tout prix
L’âme voyageuse de ton bateau
Et ton âme de pèlerin… »
(Dom Helder Camara, 1954)