Prêtres burkinabés en congé à Rillé

Aux mois de juillet et août, plusieurs prêtres burkinabés passent des séjours plus ou moins longs sur la colline de Rillé. Leurs remarques réveillent notre attention sur ce lieu particulier où la Maison-Mère est située.

Aux mois de juillet et août, plusieurs prêtres burkinabés passent des séjours plus ou moins longs sur la colline de Rillé. Leurs remarques réveillent notre attention sur ce lieu particulier où la Maison-Mère est située.

Branches de poirier qui ploient sous le poids des fruits

Il y a le granit, pierre inconnue en plusieurs régions d’Afrique ; il permet d’édifier d’imposantes constructions !

Que dire du grand jardin avec ses pommes de terre que l’abbé Pascal a aidé à ramasser, ses citrouilles, ses haricots astucieusement ramés, ses poiriers qui plient sous le poids des fruits !

Soeur aînée en promenade au jardin

Ce qui les frappe le plus, c’est la présence de nos sœurs aînées, que certains prêtres appellent leurs ’’mamans’’ et pour qui ils tiennent à venir, comme on tient à se déplacer pour un pèlerinage : ’’C’est le pied qui fait la parenté !’’ dit un proverbe burkinabé. Ernest a souligné combien la catéchèse donnée dans son enfance à Namoungou par des Sœurs du Christ Rédempteur n’était pas le catéchisme avec ses questions/réponses, mais une Bonne Nouvelle ouverte à l’Alliance : il soulignait qu’il en avait été très frappé lorsqu’il avait comparé la connaissance qu’avaient ses camarades jeunes séminaristes avec la sienne.

Dieu dans sa Justice a fait et continue de faire “œuvre de vie”}}}.

Le bâtiment « Béthanie » des soeurs aînées, avec des immortelles au 1er plan

Texte de Sr Andrée A., transmis à Sr Madeleine R.,
SCR, Cté de Nanterre

Appétissant, le potiron de Rillé… La grotte de Notre-Dame des 7 Douleurs Longues plates-bandes de salades Tout un carré de superbes potirons dans le potager Vue sur le bâtiment sud et une partie du jardin potager
Revenir en haut