Laisser une planète viable aux prochaines générations est un défi posé à chacun aujourd’hui.

Il est facile de juger les pratiques actuelles de la société, mais il serait peut-être bon de nous interroger sur nos propres pratiques. Pourquoi ne pas revisiter nos habitudes ? Il serait bien étonnant de ne pas y déceler quelques possibles actions vers une simplification.
La presse n’est pas optimiste - pas plus que les autres médias - sur l’avenir : au rythme actuel, les restrictions ne tarderont pas à s’imposer pour cause de pénurie. Il est possible de vivre pleinement en évitant de gaspiller.
Quelle idée je me fais de la vie : vivre à 100 à l’heure, ne rien manquer de ce qui se passe ? Ou choisir d’avancer à un rythme qui me convienne et qui m’enrichit d’un vécu assumé, assimilé, constructif de ma personnalité et en relation aux autres ?
Au plan politique, des virages semblent s’amorcer : nous voulons réserver un avenir viable aux générations futures, ne plus exploiter sans vergogne la planète ; il s’agit de la transmettre en héritage pour que chacun demain puisse se faire une place au soleil avec ses propres projets et l’aide de robots particulièrement performants !
Demain c’est déjà aujourd’hui ; beaucoup d’innovations se mettent en place.
Aurons-nous la sagesse d’éviter les conflits qui ne pourraient que mettre en péril les chances de notre humanité ?

Sr Jeannine M., SCR, Vitré (35)