Cette image est provocante tant par l’horreur de la situation que par ce qu’elle signifie.
Cette colombe ose se poser sur un fil barbelé au risque de sa vie. D’autre part, elle est un symbole profond : Jésus sur la croix, pour que la haine soit détruite et que règne la paix.
Je suis invitée à prier devant la croix de Jésus avec tous ces visages déchirés par la haine, la violence, la provocation dans tous ces pays en guerre : la Russie, l’Ukraine la Corée etc…
Mais nous aussi, nous portons des regards, des paroles, des gestes qui tuent la vie, l’autre, ou le fige dans un statut qui le ligote comme un barbelé.
Seigneur donne-moi ton regard, pour voir dans l’autre tous ses trésors, dons de l’Esprit Saint.
Je peux relire Isaïe 2, avec une foi indéfectible.
Je veux mettre pour titre le mot de :
paix en français,
vrede en hollandais
et bâanem en moré, une des langues du Burkina