Nous connaissons plus ou moins les agréments d’un voyage en avion : plus vite, plus loin, euphorie au-dessus des nuages, paysages à vous couper le souffle ! Et pourtant, ce n’est pas toujours la joie… 4 sœurs africaines de notre Congrégation, accompagnées d’une sœur française sont passées de surprise en surprise…

Nous étions convoquées à l’aéroport de Ouagadougou le vendredi 10 juin à 20h, pour un départ Ouaga-Paris-Rennes annoncé à 22.50.
Arrivées bien à l’heure, la galère a commencé pour nous : de multiples contrôles nous attendaient, nous n’y étions pas vraiment préparées :
- Contrôle Covid, puis pesée des bagages une première fois.
- Arrivées à l’enregistrement, un bagage par personne seulement est accepté au lieu de deux.
- Puis on nous contrôle nos bagages à main : contenu et poids. La police les contrôle à nouveau.
- En salle d’embarquement, chacune doit ré-ouvrir son bagage à main, toujours moins de 10Kg.
Ouf ! Nous pouvons enfin nous installer dans l’avion et nous préparer à l’envol imminent. Hélas, encore un temps d’attente nous est imposé à cause de deux valises dans la soute qui sont sans propriétaires à bord. Enfin, nous décollons…

Arrivées à Paris à 6.20, une heure de queue nous attend pour de nouveaux contrôles de douane, puis de la police : passeport international pour les Africaines et passeport européen pour la Française. Avant le départ pour Rennes, il nous faut encore patienter à cause d’une personne absente, alors que son bagage a été enregistré !

Nous voilà enfin à Rennes où nous apercevons nos aimables chauffeurs, Mr Soulis et Sr Michelle J.
Ouf ! Vive l’avion ! Mais quel bonheur malgré tout d’arriver enfin à la maison-mère de Rillé, notre cher point d’accueil.
Recueilli près d’une des voyageuses par sœur M. Françoise C., SCR